- Lire, et encore lire, tous genres de livres, et si possible les analyser.
- Bien cibler les maisons auxquelles vous envoyez vos textes ; nombre d’échecs viennent de là. Avec Internet, c’est long, mais c’est faisable.
- Bien prendre conscience que sur 1 000 envois postaux, un seul trouvera preneur ! La concurrence étant féroce, il convient donc de se surpasser !
- Veillez à la correction grammaticale et orthographique de votre manuscrit, c’est bien plus important que ce que vous croyez.
- N’envoyez pas de 4e (résumé), contentez-vous d’intégrer ce contenu à votre (courte) lettre de présentation, accompagné de quelques mots sur vous – et n’oubliez pas vos coordonnées, oubli plus fréquent que ce que l’on croit !
- Essayez de sentir ce qui est dans l’air du temps et de vous y adapter.
- Chapitres courts et dialogues vous donneront un avantage.
- Si vous songez au numérique, sachez qu’il n’a jamais vraiment décollé en France et qu’il est en perte de vitesse aux Etats-Unis. Il fonctionne surtout dans les domaines du thriller et de la fantasy.
- N’imaginez pas que vous multiplierez vos chances en faisant traduire votre livre vers l’anglais : c’est cher pour un particulier, et dans les pays anglo-saxons les envois directs n’existent pas, il faut toujours passer par un agent.
- Fuyez l’autoédition ou l’édition à compte d’auteur. Cela pourrait vous coûter cher, et sans le soutien publicitaire d’un éditeur traditionnel ni diffusion digne de ce nom, votre livre restera à jamais inconnu de tous, sauf si vous disposez de moyens publicitaires conséquents ou d’un énorme réseau de contacts de votre côté.