Errare humanum est, ou les errements d’une traduction classique

Je vous entretenais la semaine dernière de mon désarroi face à un nouveau texte que l’on me proposait de traduire et qui m’avait quelque peu surprise par son style, que j’estimais être du dix-neuvième, et pour lequel je me promettais de relire tout à la fois Jane Austen et Thomas Hardy, Flaubert et Balzac. Tragique…

Sept ans de réflexion, ou l’épopée d’un premier roman…

La publication du Bûcher des anges est un roman en soi ! Que diriez-vous d’une attente qui a duré…  sept ans ? Voilà de quoi donner du cœur à l’ouvrage à tout apprenti écrivain ! Alors pour vous qui attendez peut-être encore la publication de votre premier roman, ne désespérez pas, et lisez plutôt ce récit pour le…

Le traducteur, pervers polymorphe ?

L’idée de ce titre m’est venue alors que l’on vient de me proposer ma trente-deuxième traduction qui promet de me faire relever tous les défis, et me porte à croire qu’un traducteur littéraire, s’il veut travailler, doit vraiment savoir tout faire, ou plutôt tout traduire, être d’une polyvalence intellectuelle pour le moins élastique ! J’ai traduit en…

Les Cris de Paris ?

J’ai rencontré ce samedi un charmant écrivain de la maison Grasset, ce qui m’a valu d’apprendre en vrac que Françoise Verny, grande éditrice, détectrice de talents chez Flammarion et écrivaine à ses heures avait eu une fin horrible, que Modiano serait souffrant et, pour en venir à ce qui nous intéresse, que publier un livre…