Où il apparaît que la persévérance est une vertu et l’humilité une inestimable qualité…
N’ayant aucun avancement particulier à signaler concernant ma traduction du moment – cette semaine je boucle un projet d’écriture, avant de me lancer dans les nombreux mois que va me demander cette fameuse traduction -, je répondrai aujourd’hui à une question que de nombreux aspirants traducteurs m’ont déjà posée : comment percer ? Et, hélas, je n’ai…
Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage…
La semaine dernière je vous avais entretenus des sept longues années d’attente qu’il m’avait fallu endurer pour avoir enfin le plaisir de voir mon premier roman publié, et recevoir un prix dans la foulée (se reporter à l’épisode précédent pour tous les palpitants détails…). Eh bien cette semaine dans LIRE, dont je recommande la lecture…
Errare humanum est, ou les errements d’une traduction classique
Je vous entretenais la semaine dernière de mon désarroi face à un nouveau texte que l’on me proposait de traduire et qui m’avait quelque peu surprise par son style, que j’estimais être du dix-neuvième, et pour lequel je me promettais de relire tout à la fois Jane Austen et Thomas Hardy, Flaubert et Balzac. Tragique…
Sept ans de réflexion, ou l’épopée d’un premier roman…
La publication du Bûcher des anges est un roman en soi ! Que diriez-vous d’une attente qui a duré… sept ans ? Voilà de quoi donner du cœur à l’ouvrage à tout apprenti écrivain ! Alors pour vous qui attendez peut-être encore la publication de votre premier roman, ne désespérez pas, et lisez plutôt ce récit pour le…
Le traducteur, pervers polymorphe ?
L’idée de ce titre m’est venue alors que l’on vient de me proposer ma trente-deuxième traduction qui promet de me faire relever tous les défis, et me porte à croire qu’un traducteur littéraire, s’il veut travailler, doit vraiment savoir tout faire, ou plutôt tout traduire, être d’une polyvalence intellectuelle pour le moins élastique ! J’ai traduit en…
Les Cris de Paris ?
J’ai rencontré ce samedi un charmant écrivain de la maison Grasset, ce qui m’a valu d’apprendre en vrac que Françoise Verny, grande éditrice, détectrice de talents chez Flammarion et écrivaine à ses heures avait eu une fin horrible, que Modiano serait souffrant et, pour en venir à ce qui nous intéresse, que publier un livre…