Une traduction hors du temps – La suite !
Ca avance ! Entamée début juillet de l’an de grâce 2012, ma traduction de Merivel, a man of his time, avance très honorablement puisque je clôture cette semaine la première partie (il y en a trois). Ceux qui ont suivi les épisodes précédents se souviendront que j’avais stylistiquement hésité entre XIXe et XVIIIe, pour finir par…
J’ai vu ton ombre en rêve…
Un texte cousu sur mesure : La percée du ciel est-elle aléatoire ? Faut-il marcher sur les eaux pour parvenir de l’autre côté de soi ? Une main qui rampe serait-elle une fugitive tentant d’échapper à elle-même ? Longtemps j’ai avancé au bord de la vie. L’on y rencontre d’étranges choses des sensations futiles. Que…
Professionnellement vôtre – BIOGRAPHIE 3
Diplômée en anglais (Master 1) et en communication (Master 2), Edith Soonckindt a par la suite suivi des cours de scénariographie, dont des cours de dialogue. Sa première expérience professionnelle ? Une dizaine d’années comme chargée de cours en universités (UCSC, University of California @ Santa Cruz, Etats-Unis, University of Manchester & Umist, Angleterre, et…
Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage…
La semaine dernière je vous avais entretenus des sept longues années d’attente qu’il m’avait fallu endurer pour avoir enfin le plaisir de voir mon premier roman publié, et recevoir un prix dans la foulée (se reporter à l’épisode précédent pour tous les palpitants détails…). Eh bien cette semaine dans LIRE, dont je recommande la lecture…
Errare humanum est, ou les errements d’une traduction classique
Je vous entretenais la semaine dernière de mon désarroi face à un nouveau texte que l’on me proposait de traduire et qui m’avait quelque peu surprise par son style, que j’estimais être du dix-neuvième, et pour lequel je me promettais de relire tout à la fois Jane Austen et Thomas Hardy, Flaubert et Balzac. Tragique…
Sept ans de réflexion, ou l’épopée d’un premier roman…
La publication du Bûcher des anges est un roman en soi ! Que diriez-vous d’une attente qui a duré… sept ans ? Voilà de quoi donner du cœur à l’ouvrage à tout apprenti écrivain ! Alors pour vous qui attendez peut-être encore la publication de votre premier roman, ne désespérez pas, et lisez plutôt ce récit pour le…
Le traducteur, pervers polymorphe ?
L’idée de ce titre m’est venue alors que l’on vient de me proposer ma trente-deuxième traduction qui promet de me faire relever tous les défis, et me porte à croire qu’un traducteur littéraire, s’il veut travailler, doit vraiment savoir tout faire, ou plutôt tout traduire, être d’une polyvalence intellectuelle pour le moins élastique ! J’ai traduit en…