Ah, la grande question est de nouveau lancée !
Et je ne peux vous garantir que j’y répondrai, même si, profondément, je suis d'emblée assez convaincue que toute traduction, aussi bonne soit-elle, est forcément une trahison puisque transposant dans un contexte allochtone une histoire autochtone…
Mais mon propos ici sera moins théorique et plus pratique puisqu’il consistera, de semaine en semaine, à venir vous parler de divers aspects de ce métier bien difficile qu’est la traduction littéraire.
Si vous avez déjà survolé mon site, vous avez dû voir que j’avais une certaine expérience en la matière puisque j’ai traduit une trentaine d’ouvrages en l’espace d’une vingtaine d’années pour divers éditeurs parisiens. Ma biographie professionnelle vous est présentée ici, ma biographie plus « romancée » là.
Sous l’onglet « Traductrice » vous trouverez le détail de mes principaux travaux publiés, et sous l’onglet du blog « Conseil aux traducteurs » vous trouverez quelques articles plus personnels susceptibles de vous intéresser, qu’il s’agisse du journal de bord d’une traduction maudite, de questions posées par des étudiants en traduction, ou d’impressions tirées de diverses résidences de traduction (CITL d’Arles, CETL de Seneffe).
Au fil des semaines je vous guiderai, tout comme je le fais dans mon blog « Conseil aux auteurs », dans les arcanes et méandres de ce drôle d’univers qui semble en faire rêver plus d’un(e) mais dont peu imaginent les difficultés, que je ne manquerai pas de vous souligner pour que vous puissiez effectuer ce choix de carrière en pleine connaissance de cause ! Je n’oublierai pas pour autant de vous parler des avantages d’un tel métier non plus, car il y en a, c’est évident !
En attendant n’hésitez pas, vraiment pas, à me poser toute question sur cette profession qui vous turlupinerait, et je me ferai un plaisir d’y répondre dans les plus brefs délais, que ce soit par e-mail ou par le biais de ce blog.
D’ici là, plein de belles lectures (et traductions !) à toutes et tous ! 🙂