Après le « creative writing », le « creative translating »: la méthode Brandon Brown

Trouvé ce passionnant article sur la page FB du CITL et n’ai pu résister à un copié-collé… 😉 Comme beaucoup l’ont suggéré, la traduction peut fonctionner comme un geste interprétatif ou comme lecture privilégiée d’un texte. Certains ont par ailleurs cherché à situer la frontière floue séparant la traduction de la réécriture. En 2011, Krupskaya pressa…

Où il apparaît que la persévérance est une vertu et l’humilité une inestimable qualité…

N’ayant aucun avancement particulier à signaler concernant ma traduction du moment – cette semaine je boucle un projet d’écriture, avant de me lancer dans les nombreux mois que va me demander cette fameuse traduction -, je répondrai aujourd’hui à une question que de nombreux aspirants traducteurs m’ont déjà posée : comment percer ? Et, hélas, je n’ai…

Errare humanum est, ou les errements d’une traduction classique

Je vous entretenais la semaine dernière de mon désarroi face à un nouveau texte que l’on me proposait de traduire et qui m’avait quelque peu surprise par son style, que j’estimais être du dix-neuvième, et pour lequel je me promettais de relire tout à la fois Jane Austen et Thomas Hardy, Flaubert et Balzac. Tragique…

Le traducteur, pervers polymorphe ?

L’idée de ce titre m’est venue alors que l’on vient de me proposer ma trente-deuxième traduction qui promet de me faire relever tous les défis, et me porte à croire qu’un traducteur littéraire, s’il veut travailler, doit vraiment savoir tout faire, ou plutôt tout traduire, être d’une polyvalence intellectuelle pour le moins élastique ! J’ai traduit en…

Traduttore, traditore ?

Ah, la grande question est de nouveau lancée ! Et je ne peux vous garantir que j’y répondrai, même si, profondément, je suis d’emblée assez convaincue que toute traduction, aussi bonne soit-elle, est forcément une trahison puisque transposant dans un contexte allochtone une histoire autochtone… Mais mon propos ici sera moins théorique et plus pratique…