Errare humanum est, ou les errements d’une traduction classique

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Je vous entretenais la semaine dernière de mon désarroi face à un nouveau texte que l’on me proposait de traduire et qui m’avait quelque peu surprise par son style, que j’estimais être du dix-neuvième, et pour lequel je me promettais de relire tout à la fois Jane Austen et Thomas Hardy, Flaubert et Balzac. Tragique…